A l’heure du digital, publier un roman n’est plus un rêve inaccessible. De nombreux auteurs se tournent vers l’auto-édition afin de disposer d’une plus grande liberté ou encore pour des raisons financières. Ces auteurs indépendants se chargent eux-mêmes de la mise en page, du choix de la couverture, de la diffusion, du lancement et de la promotion de leurs livres. A suivre, les 5 raisons pour lesquelles j’ai choisi l’auto-édition.
Un contrôle de A à Z
Publier son premier roman, c’est se lancer dans une grande aventure.
Comme je ne viens pas du monde de l’édition, j’avais besoin de comprendre toutes les étapes du lancement jusqu’à la promotion en passant par le choix de la couverture. Mais aussi, j’avais besoin d’avoir un contrôle total sur mon travail.
Mais ce n’est pas tout ! Travaillant dans le marketing digital, je tenais à m’occuper moi-même du lancement et de la promotion de mon premier roman. J’avais besoin de relever ce challenge !
Un besoin de liberté
En signant un contrat d’édition, on cède les droits de son livre. En résumé, l’éditeur aura bien souvent le dernier mot.
Pour mon premier roman, je voulais être libre de faire mes propres choix. Je voulais choisir sa couverture, élaborer mon plan d’action, créer mon identité visuelle, créer mes supports de communication, etc.
Mais aussi, je voulais commettre des erreurs. C’est en se trompant que l’on apprend et que l’on s’améliore.
Une liberté financière
L’argent est un sujet tabou, mais c’est une question importante lorsque l’on souhaite publier son premier roman. Je ne vais pas entrer dans les détails, mais en résumé, un auteur autoédité pourra bénéficier d’une meilleure marge sur ses romans.
Mais aussi, un auteur autoédité pourra percevoir des versements plus fréquents.
L’impatience (un vilain défaut)
Bien souvent, il peut se passer des années entre le moment où l’auteur soumet son roman à des maisons d’édition et la publication.
J’ai commencé à écrire mon premier roman à l’âge de 20 ans. Je savais déjà à ce moment-là qu’un jour j’allais publier cette histoire. J’avais déjà le titre et la trame.
10 ans plus tard, je me suis réveillée un matin en me disant que ce jour était venu. J’ai ensuite passé un an et demi à réécrire mon roman et à me former à l’autoédition. Je n’avais plus envie d’attendre une année de plus.
Mon premier roman avait peu de chance d’être accepté par une maison d’édition
Je sais que mon premier roman est loin d’être parfait, mais je l’aime comme ça. Malgré ses petits défauts, je voulais me lancer en tant qu’auteure avec ce livre et pas un autre.
Vous souhaitez auto-éditer votre roman ? Mais vous ne savez pas par où commencer ? Je vous aide à publier et diffuser votre livre !
Pour en savoir plus : hello@cameliabalestracci.fr